1.4 - L'interprétation c'est rependre à 60% des questions que se posent les gens

Répondre d'abord aux évidences permet d'utiliser ensuite quelques thèmes ou mots jusque là inconnus des non-initiés aux sciences naturelles. La présence de ces mots nouveaux enrichit le contenu et accentue l'intérêt du lecteur. Ces mots particuliers ne doivent jamais constituer plus de 10% des textes.

 

Pourquoi ces arbres sont-ils courbes ?
Pourquoi l'eau du lac est-elle si bleue ?
Pourquoi y-a-il des nuages au sommet des pics en montagne ?
Pourquoi entend-on la mer dans les coquillages ?
Le mélèze perd ses aiguilles en hiver; le saviez-vous ?

Des questions bien embarrassantes qui paraissent presqu'enfantines. Souvent le regard du promeneur ne s'arrête pas au détail, à la forme, à la couleur particulière... d'une pierre, d'un ruisseau, d'un arbre. Ce sont autant d'indices qui éveillent la curiosité.

On stimule l'intérêt par des faits concrets, des anecdoctes, des légendes relatifs au site visité, avant de parler des grandes lois qui régissent la nature.

La cause des phénomènes observés dans la nature, des plus évidents aux plus extraordinaires, des plus rares aux plus courants est souvent mystérieuse pour le non-initié. Complètes ou simplement suggérées, de courtes réponses peuvent être apportées aux promeneurs, quelles que soient leurs connaissances en écologie.